Yo-kid teste tout ce qui lui passe sous la main...

Bon c'est pas original je sais mais c'est comme ça, un petit test vite fait de ce qui est pour moi un très bon jeu, sans doute pas le jeu de l'année, mais un très bon jeu quand même. Je m'explique, tout le monde attendait avec impatience ce troisième opus de Bioshock. Mais est-ce que les joueurs voulaient une suite ou un reboot? est ce que faire une suite n'aurait pas essoufler la série? Le jeu a pris son parti, c'est une toute nouvelle histoire qui nous est contée, non sans quelques influences subtiles. Oubliez les petites soeurs et les protecteurs, nada, dead. Maintenant vous jouez plutôt le rôle de grand frère avec Elizabeth, une jeune demoiselle enfermée dans une sorte de tour obscure pour on ne sait quelle raison. Vous, Booker Hewitt, vous êtes missionné pour aller la chercher et ainsi rembourser votre dette mais là c'est juste le début de l'histoire. Problème : Columbia n'est pas une ville comme les autres et peut vous changer un homme en peu de temps... J'ai toujours pas compris comment elle flottait dans les nuages comme ça d'ailleurs... En vrai, c'est une histoire de dingue qui vous emmènera loin, très loin enfin haut, très haut. J'ai été très intéressé, parfois subjugué par cette petite douzaine d'heure de jeu en compagnie de ce duo de choc, bien qu'Elizabeth soit un peu trop généreuses parfois. Doublages excellents, ambiance de folie, immersion garantie, le background de Bioshock reste dense et très riche. Vous n'aurez je pense pas fini d'en faire le tour de si tôt.

Un très bel artwork...

Que dire d'autre? Le gameplay est aux petits oignons, une main pour les toniques et l'autre pour les armes (parmi un grand choix). Il y a beaucoup d'améliorations disponibles pour l'une comme pour l'autre. Le système de rails que vous allez pouvoir utiliser pour les combats rend l'action très intense et augmente réellement les possibiltés. Vous pourrez attaquer directement depuis ces rails, accélerer, ralentir, changer de sens de marche, et donc élaborer des stratégies pendant certaines phases de combat. Il faut tout de même le reconnaître, ce Bioshock est assez bourrin et la dernière bataille (je n'en dis pas plus) est très ardue, de quoi s'arracher les cheveux.

C'est beau, c'est bio?

Alors bon la vrai question : Bioshock or not Bioshock? 

Oui c'est du Bioshock pour cet univers tellement riche et profond que l'on peut se demander de quelle type d'imagination cela peut provenir. C'est une prouesse un fois de plus et il est presque impossible d'être insensible et ce monde qui se dessine devant nous. Les voxophones vous parlent et savent attirer votre attention croyez moi, ça en est parfois déroutant. Les délires visuels sont au rendez vous, âmes sensibles, montez le son! Les personnages certes superficiels pour certains sont totalement fou, les Lutèces en sont l'exemple flagrant. Et non ce n'est pas du Bioshock pour tout ce qui a fait de Bioshock ce qu'il est et qui est absent de cet opus. Le songbird n'est pas à la hauteur des protecteurs (pas de jeu de mot, je sais c'est un oiseau) et ne procurent pas le même émerveillement stressé limite flippé du premier épisode. Les interactions sont trop amoindries à mon goût. Les petites soeurs manquent à l'appel, l'adam n'est plus là, le délire n'est pas le même mais il est tout de même là, acteur de votre émerveillement. Columbia n'est pas Rapture, on pouvait pas y aller dans l'eau, on ne pouvais que contempler cet univers, impuissant devant la profondeur de son décor. L'air on y est et on y joue, le vide on le voit pas, logique vous me direz. Peut être que l'impression de "jeu plus bourrin" vient de là. Couleurs pastelles et ambiances obscures en font un tableau détonant sur fond de conflits permanents et de plus en plus intense. Après on ne peut reprocher à la licence de surfer sur le succès de la série et de  proposer une toute nouvelle aventure proposant de réelles nouveautés dignes d'intérêts. Et que demander de plus si ce n'est que ça soit réussi? Et bien ça l'est. Bravo. J'ai adoré ce jeu. Et je le recommande. Et pas seulement pour la jaquette réversible qu'elle est trop belle. En plus, pas de "fuck*** code à usage unique" dans la boîboîte.  

Rhooo!! Il est bizarre le zozio, aquarelbird?

Graphisme :  /5

Ambiance : /5

Jouabilité : /5 

Durée de vie : /5

Intéret : /5

TASTE : 9 / 10

Il est mimi le songbird, et en vrai dans la télé, il fait peur quand il crie...

Bonjour à tous, aujourd'hui pour votre plus grand plaisir et aussi pour enlever tous ces bla bla bla de mon texte, je vais vous proposer un test rapide de Dead Space sur Xbox 360. L'histoire est très simple, vous êtes mécano et c'est le bordel sur la Terre, enfin pour être exact, la Terre = Boo il fait chaud et puis ça pue trop pour respirer. Donc, vous êtes appelé sur une station orbitale ayant coupé toute communication avec le reste du réseau pour réparer ce qui peut être réparé. Et là, boom, c'est le bordel, comme sur la Terre, en plus frais, sur fond d'odeur de viande moisie et de craquements et cris effrayants. Vous devez faire ce qui était prévu : réparer mais en passant au travers d'un certain nombre de bestioles qui n'ont rien de très humains mais qui, visiblement, savent courir, sauter, se hisser, ramper, enfin les bases quoi... 

Alors, déjà l'ambiance est vraiment excellente, vous allez enfin trembler comme dans un bon survival-horror, ce qu'est sans nul doute Dead Space. Le son à fond et les yeux rivés sur l'écran, vous allez pouvoir découvrir les méandres de cet antre des nécromorphes, à coup de lance flammes et clé à molette. Si les conditions sont réunies, la moindre petite goutte d'eau touchant le sol glacé de la station devrait vous faire prendre de l'altitude. Les graphismes sont tout juste magnifiques pour l'époque et n'ont rien à envier à beaucoup de réalisations cuvée 2012. Ce jeu est sortit en 2007, et bien évidemment même si les caractéristiques des machines n'ont pas évolué, les développeurs ont appris à s'en démêler pour rendre les choses encore plus belles. En terme de jouabilité, le personnage est un peu lourd, en même temps son armure c'est pas de la soie non plus. Il ne peut pas faire des demi-tour rapides et ne court pas bien vite. Le gestion de l'inventaire se fait directement sur l'écran et augmente l'immersion car le jeu ne s'arrête pas pendant ce temps. C'est sur ce même écran que les enregistrements scénaristiques vous seront communiqués. A l'image d'un Bioshock, le background est très dense et nous en apprend beaucoup sur cette station hors du commun, enfin je crois, hors du temps ça c'est certain... Le seul petit défaut que j'ai pû noter est l'abondance d'armes, munitions et kit de survie en mode normal rendant le jeu assez facile (et non normal) sauf pour deux chapitres où vous allez rencontrer un ennemi un peu différent et très légèrement envahissant...

Comptez environ 12 heures pour finir le jeu un première fois en normal, vous pourrez enchaîner sur un "new game +" afin d'améliorer votre personnage et vos armes et accessoires au maximum. L'ennui ne vous guêtera pas et vous pourrez alors vous lancer dans une partie en difficile puis pourquoi pas en impossible. Et là ce sera une autre histoire, en effet, si vous changez de niveau de difficulté, vous repartirez de zéro. Plus de Cutter Plasma survolté ni de combinaison anti tout ce qui fait mal, à poil ce serait pareil, alors courage ça en vaut sans doute la peine. Vous allez rencontrer au cours de votre aventure des points de force qui vous permettront d'améliorer vos armes et vos accessoires de contrôle. En effet, vous allez pouvoir contrôler le temps (avec la stase) et le ralentir afin de vous sortir de certaines situations. De même vous pourrez améliorer, en plus de vos armes, votre réserve en oxygène, ce qui vous permettra de rester plus longtemps dans les zones sans air (zones assez stressantes). Il y a aussi un contrôle sur la gravité dans certaines zones, cela rend le jeu hyper prenant et intéressant. 

                 Allez je vais me faire Dead Space 2!!!

Graphisme :  /5

Ambiance : /5

Jouabilité : /5 

Durée de vie : /5

Intéret : /5

TASTE : 9 / 10

La guerre, c'est les autres! Je n'ai jamais compris cette phrase mais je ne perds pas espoir... Walker, militaire de l'US Army que vous incarnerez dans "The Line", ne devra jamais le perdre lui non plus, pour lui et surtout pour ses 2 coéquipiers. Pour info, vous êtes à Dubaï et les éléments se déchaînent. Les habitants de la ville ont un comportement hostile, les groupes militaires présents ne semblent pas apprécier votre présence. A vous de survivre dans cet enfer de sable plus chaud que doux et de coktails plus molotiv' que mojito. 

C'est dans cet univers dont l'inspiration principale semble être Apocalypse Now que vous allez devoir vous battre. Au début doux et moelleux comme un bon vin espagnol, le défi se corse de plus en plus. Vous allez être mis à contribution et vos choix auront de vraies conséquences sur l'évolution de la trame scénaristique. Bon, pas de quoi en faire un RPG, non non non et heureusement c'est pas ce qu'on lui demande. Le jeu est plaisant à faire, la prise en main se fait naturellement pour quiconque a déjà touché à un TPS (Third Person Shooter). Il y a trois passages dans le jeu qui sont bien plus difficiles. Si vous choisissez les difficultés supérieures, un vrai défi sera au rendez-vous. Vous transporterez au maximum 2 armes et vous devrez les échanger au cours de votre aventure avec celles laissées sur le champ de bataille. Pas de campements, de boutiques, de mages gothiques exhibitionnistes, seulement vous et l'hostilité de votre environnement. A vous de gérer tout ça. Vous pourrez aussi donner des cibles prioritaires à vos équipiers, jeter des grenades biensùr et même respirer la tête dans le sable, si si je vous assure, la tête dans le sable.

Comptez passer une douzaine d'heures à Dubaï, ça vous laissera le temps de faire le tour (j'ai obtenu 880g sur les 1000g sans me fouler) et de profiter du spectacle. Mais ne vous inquiétez pas, vous serez bel et bien au coeur de l'action. L'ambiance et notamment les musiques sont très bonnes, elle donne une vrai identité au jeu et nous accompagne tout au long de l'aventure. Les bruitages sont eux aussi en accord avec ce que l'on attend d'un jeu de guerre. C'est un jeu que j'ai pris plaisir à traverser. C'est beau, il y a une intrigue intéressante et une durée de vie plutôt correct. Ce n'est pas un jeu à payer au prix fort. En effet, avec son mode multijoueur peu fourni et peu addictif et son contenu un peu maigrichon, il ne mérite pas un tel investissement. En occaz à 15 euros, ou avec une formule d'échange de jeu, ce sera parfait. D'ailleurs je le renvoie demain...

Graphisme :  /5

Ambiance : /5

Jouabilité : /5 

Durée de vie : /5

Intéret : /5

TASTE : 8 / 10

Aujourd'hui, pour le plus grand plaisir de tous, j'ai enfin terminé ce fameux God of War III. Il y a des jeux comme ça qui restent traîner dans un coin ou dans une étagère sans savoir pourquoi... Pour information, 11 heures m'auront été nécessaire à clôturer cette belle aventure dont 8 quasiment à la suite : un jeu prenant. Six mois m'auront aussi été nécessaires à y revenir...

God of War III est une exclusivité PS3 sortie le 17 mars en Europe (la veille aux Etats-Unis). Il est édité par Sony Computer Entertainment, développé par SCE Santa Monica Studio et interdit aux moins de 18 ans (je vous assure, c'est justifié, si si, ça l'est!).

Pour la faire courte, l'histoire de cet opus se déroule dans la continuité des 2 précédents, Kratos cherche à se venger des dieux de l'Olympe avec l'aide active des Titans. Je ne veux absolument rien spoiler du jeu, en effet, il n'est pas très long et donc le scénario et les différents rebondissements de l'aventure doivent rester secret. Au passage, God of War Collection est aussi disponible et pour les fans qui n'ont jamais joué aux opus PS2, cette compilation des 2 premiers épisodes revus à la haute définition constitue un très bon investissement (environ 25 heures de jeu pour 25 euros, je vous fais grâce du calcul...). 

La PS3 en a dans le ventre et elle nous le montre dans ce God of War. Les animations sont fluides et l'affichage ne freeze pas lorsqu'il y a beaucoup d'ennemis à l'écran. Et non, des cheveux ne sortent pas de la console comme dirait ma pertinente Diddy... Les effets d'ombres et de lumières sont superbement gérés, Kratos est parfaitement intégré dans l'environnement titanesque dans lequel il évolue. Le jeu bénéficie d'une patte graphique exceptionnelle, les décors fins et détaillés se déplacent avec le personnage principale et les ennemis alentours sans souffrir de ralentissements ou d'alliasing.

La mise en scène est-elle aussi réussie et embarque le joueur dans un film interactif de toute beauté. Néanmoins, la caméra automatique est parfois capricieuse, elle bouge avec Kratos et ses ennemis et se bloque parfois dans un angle malvenu amenant parfois à la perte de son personnage. Les combats épiques ne souffrent eux aussi d'aucun défaut. Les animations s'enchaînent et éblouissent le joueur. Les gerbes de sang et la tripaille sont au rendez-vous, Saw c'est de la gnognote à côté, Candy et Toto en vacances... Pour peu que vous soyez équipé en haute définition, l'affichage en 720p ou 1080i flatte autant qu'il impressionne.

La bande son se passe de commentaires, du calme à l'énervé, elle accompagne ce roman vidéo-ludique en le mettant en valeur à chaque plan de caméra. L'ambiance est réussie, les craquements d'os dans les "finish-him" et les sifflements des lames de Kratos dans l'air (entre autres) inondent le joueur de ce sentiment de violence et de puissance l'approchant de l'Highlander des temps mythologiques. Une tuerie!!! 

Le Gameplay est de prime abord d'une simplicité enfantine, puis lorsque Kratos évolue grâce aux orbes que vous récupérez, il s'enrichit... Il y a au total 4 armes avec un grand nombre de combos pour chacune d'entre elles (pas de spoil, il y a 4 emplacements prévus...) et la possibilité de changer d'armes avec la croix directionnelle (pas facile) en milieu de combat. A cela viennent s'ajouter de la magie et des items utilisables en combat. Durant la partie, Kratos ouvrira un grand nombre de coffre contenant des orbes de couleurs et des artefacts particuliers. Les orbes rouges, bleus et verts donneront respectivement des points d'expérience pour améliorer ses armes, de la magie et des points de vie. Certains coffres contiennent des bonus à savoir l'oeil de gorgone (3 yeux augmentant votre jauge de vie), la plume de phoenix (3 plumes augmentant votre jauge d'utilisation des items), la corne du minotaure (3 cornes augmentant votre jauge de magie) ainsi que des reliques proférant des pouvoirs utilisables après avoir fini le jeu une première fois(magie infinie, rage infinie...). Ah oui! j'oubliais, une jauge supplémentaire appelé "Rage" se remplit au fil des combos, lorsqu'elle est pleine, une pression sur L3 et R3 fait entrer Kratos dans un état second... De nombreuses autres subtilités se cachent dans le gameplay de God of War III mais je vous laisse les découvrir par vous même... Dans tous les cas, vous ne ragerez pas après votre manette car vous arriverez toujours à faire ce que vous voulez de Kratos. 

La durée de vie est vraiment intéressante pour un jeu de ce genre. Comptez une douzaine d'heures pour finir l'histoire en normal (Dieu) en aillant pris le temps de chercher les différents items. A la fin du jeu, un nouveau mode de difficulté se débloque (chaos) ainsi que des nouveaux modes de jeu et des vidéos (cinématiques et Making of). Le mode "New +" ne fait malheureusement pas partie des bonus, cependant il existe une astuce pour recommencer le jeu avec Kratos et la magie au maximum. Si ça vous intéresse regardez ici...

En conclusion : si vous avez aimé les 2 premiers opus, si vous ne voulez pas passer à côté de ce qui représente l'un des plus beaux jeux du monde encore à l'heure actuelle plus de six mois après sa sortie, si vous avez une PS3 et une trentaine d'euros à dépenser, n'hésitez plus!!!! God of War III est pour vous!!!

2 jeux issus de l'opération Summer of Arcade font partie de ma collection. Le premier est Limbo. Je l'ai téléchargé dès sa sortie mais j'ai quelque peu tardé à y jouer. L'histoire s'est terminée aujourd'hui. Les images ont défilé devant mes yeux ébahis en attente d'explications sur la vie de ce petit personnage sympathique. Je vous laisse dans le doute quant au dénouement de ce défilé de tableaux 2D d'un très bel effet. Ici pas de spoil car ce jeu très court mérite d'être vécu seul : une fois de plus, âmes sensibles, s'abstenir!

Ce jeu, développé par Playdead et sortit le 21 juillet 2010 sur Xbox Live Arcade, bénéficie de nombreuses qualités... La maniabilité est très basique, vous déplacez une entité qui semble être un petit garçon. Vous pouvez aller à gauche, à droite, sauter ou attraper des objets. Le gameplay issue de ces quelques touches est très révélateur de l'imagination des créateurs de ce jeu. En effet, les nombreuses interactions avec l'environnement en noir et blanc rendent l'expérience très riche. L'ambiance du jeu est oppressante, il n'y a aucune arme, seulement votre tête, vos jambes et vos bras. La musique est maniée avec brio, les bruitages rendent l'immersion totale. Les graphismes en tonalités de blanc et de noir créent une magnifique et éblouissante toile en perpétuel changement appuyé par des animations très réalistes.  Tel un requiem pour une marche interminable vers votre objectif, tous ces éléments s'entrechoquent pour donner un tout cohérent et vibrant. Vers où se dirige ce garçon des limbes?

Et bien, le début du jeu vous pose là, dans cet environnement au départ accueillant mais devenant rapidement hostile. L'apparition de quelques pièges, autochtones et différents insectes dont l'animation ne souffre d'aucun défaut n'aideront pas à vous faire garder votre calme. Et là, c'est le drame, une chute, un piège à loup, une branche qui craque sur votre nuque, un bras articulé, ou une gigantesque araignée mettront fin à votre aventure en à peine 1 seconde et avec une rare violence. Nul besoin de couleur sang pour mettre en avant la dureté de certaines mises en scène de mort. Mais ce n'est pas la fin, loin de là, le jeu se base sur un système essai/erreur pour évoluer. Il est obligatoire de mourir régulièrement afin d'évaluer les différentes composantes des pièges et casse-têtes. Ils sont très nombreux et assez complexes. Certains vous donneront des sueurs froides, d'autres feront couler votre sang noir. Impossible de sortir de ce Limbo indemne. La structure même du jeu sans temps mort vous promet une aventure limpide. Les 24 chapitres se déroulent sans rupture et il est possible de se faire le jeu entièrement en environ 2h30 sans trop forcer. 1200 Microsoft Points soit une dizaine d'euros (39 euros les 4200 points ici) pour une telle aventure semble un peu cher mais croyez moi, ça le fait. De plus, vous pourrez y revenir sans problème pour trouver les oeufs cachés ou alors essayer de faire tout le jeu en une seule session en mourant moins de 6 fois : un vrai challenge.

Un seul bémol : la fin du jeu n'est pas ce que j'attendais mais il est évident que dans ce monde onirique ou cauchemardesque, c'est selon, l'interprétation prend une part importante et saura faire de cette expérience unique la vôtre...

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Durée de vie : 14/20 

Léger bémol, certains ne se feront à l'idée de dépenser 1200 Microsoft Points pour une telle aventure. Pour moi, ça valait le cout...

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Bande Sonore : 19/20

Encore une réussite, des sons d'intensités variables discrets mais incontournables, des musiques douces mais oppressantes, un tout cauchemardesque et tout aussi fascinant. 

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Note Globale : 18/20

Merci pour cette expérience unique dont l'issue improbable saura vous ravir comme vous décevoir. Un jeu à vivre du début à la fin, ne pas le finir serait inhumain... Libérez LIMBO!

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